L’enfant terrible de la mode est un anticonformiste et aime détourner les conventions. Jean Paul Gaultier ne fait rien comme personne et aime changer les genres.
C’est Francis Kurkdijan qui a imaginé le nouveau mal de Jean Paul Gaultier. C’est également lui qui a créé l’original. Il a imaginé un jus contrasté à la fois tellement givré et particulièrement incandescent. Par ailleurs, la lavande en est le fils rouge, car c’est Jean Paul Gaultier voue un amour particulier à cet ingrédient. « Le beau mal » débute par une fraicheur saisissante et tonique grâce à la présence de la menthe poivrée. Celle-ci est associée à la luminosité de la fleur d’oranger. Ces notes fraiches sont surdosées par la fraicheur des notes aromatiques comme la sauge sclarée, la lavande et l’armoise. Enfin le fond est rempli de muscs blancs, ingrédient sensuel par excellence. L’ensemble stimule tous les sens et le potentiel érotique de chaque homme s’en trouve développé. Quant au flacon, il reprend les codes de son ainé. En verre dépoli, le beau mal est cette fois revêtu d’une marinière à bandes bleues glacées.
« Un parfum de fraicheur qui rend les hommes chauds ». C’est la définition de Jean Paul Gaultier, pour son nouveau mal. Ce dernier affiche sa virilité de façon plus osée. Plus contrasté et plus « givré » que l’original, « Le beau mal » a été imaginé pour être torride, qu’on se le dise !
Volume | 125 ml, 40 ml |
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